jeudi 18 décembre 2014

Saute !


"Il n'y a rien qui soit permanent : le soleil et la lune se lèvent puis se couchent, au jour clair et transparent succède la nuit sombre et opaque. Tout change, d'heure en heure. "
Kalou Rinpoché

Au cours d'une journée de pleine conscience.
Une participante nous raconta un de ses rêves nocturnes et singulier .
Dans son rêve, Elle se voyait sur un chantier du bâtiment comme il en existe un peu partout .
Puis, soudain tombant dans un grand trou avec pour planche de salut une grosse poutre . Dans ce rêve, elle vit un homme qui essaya de la jeter dans le vide, de la faire tomber, lui disant :"Saute!" Se a quoi elle répondit, qu'elle allait mourir. Il lui dit que non! Alors elle lacha la poutre, tomba dans ce grand trou noir... Et elle rebondis! et a chaque fois qu'elle tomba dans ce trou, elle rebondissait de plus belle.
Je crois qu'on peut tous comprendre la symbolique de ce rêve, la poutre symbolise nos croyances, nos peurs, tout ce à quoi nous nous attachons, agrippons, tout ce que nous refusons de lâcher, parce-que l'inconnu nous fait peur. Que ce soit une relation qui nous fasse "souffrir", un travail qui ne nous épanouit pas ,des chose du passée  qui nous encombre ,etc.
La vie est un mouvement.
Refuser le mouvement c'est se scléroser, c'est prendre le risque de mourir en soi-même.
Quand nous refusons le changement, nous refusons toute nouvelle possibilités de vivre heureux(se) et en paix.
Alors, si au lieu de nous fermer au changement, nous accompagnons ce changement avec curiosité?
une histoire d'amour qui se fini, une possibilité d'apprendre à vivre seule et à s'aimer, jusqu'à la prochaine qui sera forcément encore meilleure. Une perte d'emploi, un moment pour trouver ce qui nous fait vibré réellement.
Une thérapeute que je connais, à pour habitude de dire; "Puisque la vie est impermamence, tout est possible!"
Alors, on saute?

vendredi 28 novembre 2014

Ta place dans ce monde



Il y a peu, j'ai assisté à un atelier sur les émotions.
À un moment, au cours de cette session, l'intervenante nous à demander de nous mettre en cercle debout, chacun devait prendre le prénom de son voisin de droite.
Celui qui ne trouvait pas sa place appelait les autres par le prénom présent sur la liste .
Chacun venait avec son prénom d'emprunt changer de place.
Quelle ne fut pas ma surprise de voir mon prénom appeler sans cesse, alors que j'étais la dernière au dos de la liste, personne ne savait qui j'étais, et pourtant j'étais là à ma place.
Souvent nous croyons à tort que nous ne sommes pas légitimes pour faire ci ou ça.
Pour oser être ce que nous sommes.
nous recevons dans l'enfance des injonctions, dont celle-ci: "n'appartiens pas, n'est pas ta place", ne soit pas toi-meme .
La vérité c'est que nous sommes tous légitime, que nous avons tous chacun une place dans l'univers, dans la vie même .
Certains vont trouver cette place, ce qui leur convient au bas de leurs portes, d'autres plus loin, mais quoiqu'il en advienne, nous avons tous été un appel de la vie elle-même..

 

dimanche 23 novembre 2014

Sur mon chemin

Je n'ai plus trop l'habitude de parler de moi, à dire vrai cela ne m'intéresse plus.  J'écris plus ce soir pour  une personne qui est chère à mon cœur ,(et qui le restera, aka La tige) et qui sûrement, ne comprend pas  tout ce que le bouddhisme, la méditation implique dans ma vie. La foi, je ne l'ai pas cherché du tout, je suis l'opposé de la coincer hystérique, et de toutes images bien réelle (malheureusement) de fanatique, ou illuminé , j'aime toute les belles et bonne chose de la vie, et je sais apprécier la beauté. La foi, c'est juste un vécu qui ne s'explique pas, les mots seraient vulgaire.C'est  le sentiment d'avoir soudain trouver un sens a un puzzle géant, c'est une évidence qui s'impose à soi, c'est sentir que j'ai ma place dans cet univers  Pour citer la lettre de lord Chandos, une magnifique nouvelle de l'écrivain Hugo von Hofmannsthal:"Depuis lors, je mène une existence que vous aurez du mal à concevoir, je le crains, tant elle se déroule hors de l'esprit, sans une pensée. Il ne m'est pas aisé d'esquisser pour vous de quoi  sont faits ces moments heureux; Les mots  une fois de plus m'abandonnent. Car c'est quelque chose qui ne possède aucun nom et d'ailleurs ne peut guère en recevoir, cela qui s'annonce à moi dans ces instants, emplissant comme un vase n'importe quelle apparence de mon entourage quotidien d'un flot débordant de vie exaltée. Je ne peux attendre que vous compreniez sans un exemple et il me faut implorer votre indulgence pour la puérilité de ces évocations. Un arrosoir, une herse à l'abandon dans un champs, un chien au soleil, un cimetière misérable, un infirme, une petite maison de paysan, tout cela peut devenir le receptacle de mes révelations.

Bien sur, il n'arrive encore de tomber, de voir mon esprit ce rétracter autour d''une pensée, de me laisser embarquer dans des ruminations,mais c'est dans ces moments-là, que je peux comprendre comment fonctionne mon esprit. 
C'est autant d'avertiseur pour me dire de revenir dans l'instant présent, d'accepter mes émotions, ma non- paix.
Pour citer Fréderic Lenoir dans son livre l'ame du monde :
L'Ame du monde nous a donné un précieux attelage composé de deux chevaux et d'un cocher. Les deux chevaux, ce sont le corps physique et le corps émotionnel et psychique. Le cocher, c'est l'âme spirituelle ou l'esprit. Tout au long de la vie, il nous faudra apprendre à maîtriser cet étrange attelage. Car sa bonne marche relève de la parfaite symbiose entre les trois éléments qui le composent. Si le cocher est faible ou inexpérimenté et ne domine pas ses montures, l'attelage ira n'importe où, s'échouera dans un ravin ou errera sans fin. Si les montures ne s'entendent pas, l'attelage sera très difficile à tenir et sa course chaotique. Si les montures sont fatiguées ou mal nourries, l'attelage avancera péniblement. Apprendre à vivre, cela commence donc par apprendre à connaître et prendre soin de son corps, de son psychisme et de son esprit, et favoriser la bonne entente de ces trois dimensions de notre être.
 Apprendre à vivre, cela commence donc par apprendre à connaître et prendre soin de son corps, de son psychisme et de son esprit, et favoriser la bonne entente de ces trois dimensions de notre être.

Un sage prit la parole et dit : "Le regard que nous portons sur le monde n'est pas le monde lui-même, mais le monde tel que nous le percevons à travers le prisme de notre sensibilité, de nos émotions. Si le monde vous apparaît triste ou hostile, transformez votre regard et il vous apparaîtra autrement. C'est par un travail intérieur, psychologique et spirituel, que nous pouvons véritablement changer et faire évoluer notre perception du monde extérieur."


samedi 23 août 2014

Apprendre à couper les chaînes

Il s’agit de couper la réaction en chaîne des mots blessants qui en entraînent d’autres et la respiration-méditation apporte une aide considérable.
Cette pause respiratoire permet de gagner en maturité et de se faire respecter parce que l’autre aussi à le temps de réfléchir à ce qu’il vient de dire.
Cependant il existe des gens particulièrement difficiles à supporter qu’il vaut mieux éviter si c’est possible, c’est parfois la seule façon de se préserver.
Être bouddhiste, c’est cultiver la bonté et la non violence, cela signifie que pour nous le plus important n’est pas de s’affirmer, de gagner dans une polémique mais de préserver la pureté et la noblesse de notre cœur parce que c’est par son intermédiaire que nous communiquons avec le Bouddha pour changer le monde. Si notre cœur se ferme nous sommes comme des enfants perdus.....

L'impermanence



Le Bouddha a recommandé de réciter chaque jour, ces 5 remémorations :

  • 1) Il est dans ma nature de vieillir. Il est impossible d'échapper à la vieillesse.
  • 2) Il est dans ma nature d'être malade. Il est impossible d'échapper à la maladie.
  • 3) Il est dans ma nature de mourir. Il est impossible d'échapper à la mort.
  • 4) Tout ce qui m'est cher et tous ceux que j'aime ont pour nature de changer. Il est impossible d'échapper à la séparation d'avec ceux que l'on aime.
  • 5) Mes actions sont mes vraies possessions. Je ne peux échapper aux conséquences de mes actions.


La cithare du bonheur * Conte soufi



"C’était un homme droit et sincère qui cherchait le chemin du bonheur et de la vérité.
Il alla un jour trouver un vénérable maître soufi dont on lui avait assuré qu’il pourrait les lui indiquer. Celui-ci l’accueillit aimablement devant sa tente et, après lui avoir servi le thé à la menthe, lui révéla le chemin tant attendu :
« C’est loin d’ici, certes, mais tu ne peux te tromper, au cœur du village que je t’ai décrit, tu trouveras trois échoppes. Là, te sera révélé le secret du bonheur et de la vérité. »
La route fut longue. Le chercheur d’absolu passa maints cols et rivières. Jusqu’à ce qu’il arrive en vue du village dont son cœur lui dit très fort :
« C’est là le lieu ! Oui, c’est là ! »

Hélas ! Dans chacune des trois boutiques, il ne trouva comme marchandises que des rouleaux de fils de fer dans l’une, des morceaux de bois dans l’autre et des pièces éparses de métal dans la troisième. Fatigué et découragé, il sortit du village pour trouver quelque repos dans une clairière voisine.

La nuit venait de tomber. La lune remplissait la clairière d’une douce lumière. Lorsque tout à coup se fit entendre une mélodie sublime. De quel instrument provenait-elle donc ? Il se dressa tout net et avança en direction du musicien. Lorsque, stupéfait, il découvrit que l’instrument céleste était une cithare faite des morceaux de bois, des pièces de métal et des fils d’acier qu’il venait de voir dans les trois échoppes du village.

A cet instant, il connut l’éveil.
Il comprit que le bonheur est fait de la synthèse de tout ce qui nous est déjà donné, et que notre tâche est d’assembler tous ces éléments dans l’harmonie."

lundi 18 août 2014

La parabole de l'éléphant

Rumi rapporte ce conte dans son ouvrage le Mesnevi.                             « Des Hindous avaient amené un éléphant ; ils l'exhibèrent dans une maison obscure. Plusieurs personnes entrèrent, une par une, dans le noir, afin de le voir.

Ne pouvant le voir des yeux, ils le tâtèrent de la main. L’un posa la main sur sa trompe ; il dit: "Cette créature est telle un tuyau d'eau."

L'autre lui toucha l'oreille: elle lui apparut semblable à un éventail.

Lui ayant saisi la jambe, un autre déclara : "C'est un pilier."

Après lui avoir posé la main sur le dos, un autre dit "En vérité, c'est un trône."

De même, chaque fois que quelqu'un entendait une description de l'éléphant, il la comprenait d'après la partie qu'il avait touché.

Leurs affirmations variaient selon ce qu'ils avaient perçu. L'un l'appelait « dal », l'autre « alîf ».

Si chacun d'eux avait été muni d'une chandelle, leurs paroles n'auraient pas différé.

L'œil de la perception est aussi limité que la paume de la main qui ne pouvait cerner la totalité de l'éléphant. L’œil de la mer est une chose, l'écume en est une autre ; délaisse l'écume et regarde avec l’œil de la mer. Jour et nuit, provenant de la mer, se meuvent les flocons d’écume ; tu vois l’écume, non la mer. Que c’est étrange !

Nous nous heurtons les uns contre les autres comme des barques ; nos yeux sont aveuglés ; l'eau est pourtant claire. Ô toi qui t'es endormi dans le bateau du corps, tu as vu l'eau ; contemple l'Eau de l'eau. »

jeudi 14 août 2014

Les pensées sont des nuages




véritable essence, c'est la méditation, qui consiste à se regarder soi-même. De l'intérieur. Assis en zazen, on laisse les images, les pensées, les formations mentales, surgissant de l'inconscient, passer comme des nuages dans le ciel - sans s'y opposer, sans s'y accrocher. Comme des ombres devant un miroir, les émanations du subconscient passent, repassent et s'évanouissent.


Et l'on arrive à l'inconscient profond, sans pensée, au-delà de toute pensée, vraie pureté. Simplement assis, sans but, ni esprit de profit, si votre posture, votre respiration et l'attitude de votre esprit sont en harmonie, vous comprenez le vrai zen, vous saisissez la nature de Bouddha.

Taisen Deshimaru

jeudi 19 juin 2014

Des petits pas dans le sable..


Il y à peu, je suis tomber sur cela :

Si vous êtes angoissé parce que vous n'avez aucune confiance en vous et pensez que rien de ce que vous faites ne réussira, réfléchissez un peu. Essayez de voir pourquoi vous vous donnez perdant dès le départ. Vous ne trouverez aucune raison valable.
Le problème vient de votre façon de penser, non d'une incapacité réelle.
Un moyen efficace de combattre l'angoisse est de se préoccuper moins de soi et plus des autres...

SS le Dalaï-Lama.

Quand on regarde dans le fond et qu'on ne trouve pas pourquoi on manque de confiance en soi, je vous jure que c'est une révélation .
On s’aperçoit que ce n'est qu'une construction mentale égotique, geignarde de nous-mêmes.
Mes petits pas, c'est laisser passer mes émotions "négatives". ne plus projeter mon propre théâtre mental sur autrui, apprendre à être au spectacle de ce théâtre permanent de nos esprits.
Encore, il m'arrive de me juger, de lutter avec des concepts...
Scories du passé.
fleur de patience, encore, encore...
être patient et persévérant avec soi...
ne pas croire son théâtre intérieur fait de rapport a moi"je" qui n'existe pas.
Ma réalité, n'est pas réalité.
Mes projections mentales sur autrui, ne sont que des petites histoires pas réelle pour deux sous.
Ne pas croire les impressions, quand j'ai l'impression de ne pas apprendre mes leçons ce ne sont que des impressions justement.
Relâcher prise ,même quand l'obsession me prend de mater un profil Twitter, Facebook d'un proche. Et puis c'est nul et ça ne m'apporte rien .
apprendre à lâcher prise encore...
La bonne nouvelle c'est que même si on se perd, on est relié tous les uns aux autres.
Laisser passer les gros nuages, cumulonimbus, stratus de mon esprit.
tout passe, tout change.
La joie, la peine, et les chagrins, rien n'est fixe.
Je ne suis pas mon ego, maladif, mon ego qui est tristesse, jalousie, peur.
Qui s'accroche
Vous n’êtes pas la peur, vous n’êtes pas la tristesse, vous n’êtes pas la jalousie, l'envie, vous n’êtes pas la colère, la possession et tous ceux qui vous fait mal.
vous n'êtes pas vos angoisses, vos chagrins
Puissent mes mots vous venir en aide et vous entourez d‘amour, à tous ceux qui souffrent, à ceux qui ne s'aimes pas, à ceux qu'on a abandonnés, à ceux qui désespères de changer, à ceux qui avancent dans le noir, a ceux malades.

Pour Aller plus loin , voici un lien de Buddaline :http://www.buddhaline.net/L-illusion-de-l-ego

dimanche 15 juin 2014

L'amour après l'amour


Le temps viendra
où, avec allégresse
tu t'accueilleras toi-même
à la porte de ta maison, dans ton miroir
et où chacun de toi sourira à l'autre,
disant : bienvenue, assieds-toi. Mange,

Tu aimeras à nouveau cet étranger qui fut toi.
Donne-lui du vin. Donne-lui du pain. Rends ton coeur
à lui-même, à l'étranger qui t'a aimé
toute ta vie, que tu as négligé
pour un autre, qui te connaît par coeur.

Retire de tes placards les lettres d'amour,
les photos, les messages désespérés,
arrache du miroir ta propre image.

Sois. Et régale-toi de ta vie.

Derek Walcott

Le drame, pour la plupart d'entre nous, ce n'est pas que la vie soit courte, mais que nous attendions si longtemps avant de commencer à la vivre. La source de sagesse que nous fait découvrir la pleine conscience finit par nous montrer l'immense et tragique souffrance qui naît de l'ignorance.

Elle nous permet de voir, d'habiter et de garder précieusement la paix qui se trouve au coeur de chaque instant, si nous avons le courage de cultiver la conscience ici et maintenant. Elle nous permet de nous sentir pleinement vivant - ici et maintenant - tant que nous avons la chance d'y être.

samedi 14 juin 2014

Des fleurs de patiences


Il y a souvent des choses qu'on se reproche, des regrets qui ne servent à rien et qui font mal.
Et puis cette culpabilité qui n'avance à rien, et qui ne fait souffrir que soi-même.
Ceux qui est passés est passé,  on ne peut revenir en arrière.
Alors, il me faut vivre, ici et maintenant.
Jour après jour, sans penser a demain trop loin, et sans regretter les après.
Accepter, et relâcher ,Lâcher prise .Il est pure folie de vouloir contrôler l’incontrôlable. Puis il y a l'impatience de vouloir mûrir.
Les livres lus et avalés,soit altruiste,force toi ma grande..
L'esprit intraitable avec soi ,sans douceur ou indulgence.
Sauf, que cela ne marche jamais et fait toujours revenir en arrière.
L'attachement a des concepts judéo-chrétiens, il faut que je sois ceci, ou cela, je devrais faire, etc.
 l'attachement a tout ce qui passe et ne reste pas.

à la jeunesse, à nos relations amoureuses, a nos proches qu'on voudrait immortel, a ceux qu'on voudrait toujours avoir au-delà de nos liens conservé.
L'espoir fou qu'après ma mort, on se retrouvera, parce que pense à moi comme je t'aime...etc. Aka Francis Lalanne.(foutaise samsarique!)
Mais ce n'est pas possible et cela engendre les pires souffrances, à chaque séparation ou décès.
Il y à les peurs d'abandon du à l'impossibilité de prendre refuge au dehors de soi. Parce-que personne ne peut vous aider, que le bonheur ne se trouve pas dans une relation affective, ni dans des biens matériels, mais en soi
Accepter l'impermanence de la vie, au cœur de nos vies. 
Cultiver les fleurs de tendresse avec soi, de patience
sans se juger, être tendre, si tendre. Comprendre que le changement viens avec le temps.
Ce juger ne servira à rien, si ce n'est qu'à aggravé notre état mental
Comprendre que chaque crise vécues est un pas en avant pour grandir.
Le fumier fait bien pousser les fleurs.
Respiré, Lâcher-prise.
Je termine en citant un Lama qui me fait beaucoup de bien, c'est le Lama Yeshé, décédé en 1984.
Soyez sage, traitez vous ,votre esprit, avec sympathie, avec une bienveillance pleine d’amour .
Si vous êtes doux avec vous même, vous deviendrez doux avec les autres
Et ne pensez pas que cette expérience intérieure de béatitude est de quelque manière égoïste .
Plus vous êtes satisfait intérieurement, plus vous pouvez donner plaisir et satisfaction aux autres
Je me le souhaite et vous le souhaite.