jeudi 19 juin 2014

Des petits pas dans le sable..


Il y à peu, je suis tomber sur cela :

Si vous êtes angoissé parce que vous n'avez aucune confiance en vous et pensez que rien de ce que vous faites ne réussira, réfléchissez un peu. Essayez de voir pourquoi vous vous donnez perdant dès le départ. Vous ne trouverez aucune raison valable.
Le problème vient de votre façon de penser, non d'une incapacité réelle.
Un moyen efficace de combattre l'angoisse est de se préoccuper moins de soi et plus des autres...

SS le Dalaï-Lama.

Quand on regarde dans le fond et qu'on ne trouve pas pourquoi on manque de confiance en soi, je vous jure que c'est une révélation .
On s’aperçoit que ce n'est qu'une construction mentale égotique, geignarde de nous-mêmes.
Mes petits pas, c'est laisser passer mes émotions "négatives". ne plus projeter mon propre théâtre mental sur autrui, apprendre à être au spectacle de ce théâtre permanent de nos esprits.
Encore, il m'arrive de me juger, de lutter avec des concepts...
Scories du passé.
fleur de patience, encore, encore...
être patient et persévérant avec soi...
ne pas croire son théâtre intérieur fait de rapport a moi"je" qui n'existe pas.
Ma réalité, n'est pas réalité.
Mes projections mentales sur autrui, ne sont que des petites histoires pas réelle pour deux sous.
Ne pas croire les impressions, quand j'ai l'impression de ne pas apprendre mes leçons ce ne sont que des impressions justement.
Relâcher prise ,même quand l'obsession me prend de mater un profil Twitter, Facebook d'un proche. Et puis c'est nul et ça ne m'apporte rien .
apprendre à lâcher prise encore...
La bonne nouvelle c'est que même si on se perd, on est relié tous les uns aux autres.
Laisser passer les gros nuages, cumulonimbus, stratus de mon esprit.
tout passe, tout change.
La joie, la peine, et les chagrins, rien n'est fixe.
Je ne suis pas mon ego, maladif, mon ego qui est tristesse, jalousie, peur.
Qui s'accroche
Vous n’êtes pas la peur, vous n’êtes pas la tristesse, vous n’êtes pas la jalousie, l'envie, vous n’êtes pas la colère, la possession et tous ceux qui vous fait mal.
vous n'êtes pas vos angoisses, vos chagrins
Puissent mes mots vous venir en aide et vous entourez d‘amour, à tous ceux qui souffrent, à ceux qui ne s'aimes pas, à ceux qu'on a abandonnés, à ceux qui désespères de changer, à ceux qui avancent dans le noir, a ceux malades.

Pour Aller plus loin , voici un lien de Buddaline :http://www.buddhaline.net/L-illusion-de-l-ego

dimanche 15 juin 2014

L'amour après l'amour


Le temps viendra
où, avec allégresse
tu t'accueilleras toi-même
à la porte de ta maison, dans ton miroir
et où chacun de toi sourira à l'autre,
disant : bienvenue, assieds-toi. Mange,

Tu aimeras à nouveau cet étranger qui fut toi.
Donne-lui du vin. Donne-lui du pain. Rends ton coeur
à lui-même, à l'étranger qui t'a aimé
toute ta vie, que tu as négligé
pour un autre, qui te connaît par coeur.

Retire de tes placards les lettres d'amour,
les photos, les messages désespérés,
arrache du miroir ta propre image.

Sois. Et régale-toi de ta vie.

Derek Walcott

Le drame, pour la plupart d'entre nous, ce n'est pas que la vie soit courte, mais que nous attendions si longtemps avant de commencer à la vivre. La source de sagesse que nous fait découvrir la pleine conscience finit par nous montrer l'immense et tragique souffrance qui naît de l'ignorance.

Elle nous permet de voir, d'habiter et de garder précieusement la paix qui se trouve au coeur de chaque instant, si nous avons le courage de cultiver la conscience ici et maintenant. Elle nous permet de nous sentir pleinement vivant - ici et maintenant - tant que nous avons la chance d'y être.

samedi 14 juin 2014

Des fleurs de patiences


Il y a souvent des choses qu'on se reproche, des regrets qui ne servent à rien et qui font mal.
Et puis cette culpabilité qui n'avance à rien, et qui ne fait souffrir que soi-même.
Ceux qui est passés est passé,  on ne peut revenir en arrière.
Alors, il me faut vivre, ici et maintenant.
Jour après jour, sans penser a demain trop loin, et sans regretter les après.
Accepter, et relâcher ,Lâcher prise .Il est pure folie de vouloir contrôler l’incontrôlable. Puis il y a l'impatience de vouloir mûrir.
Les livres lus et avalés,soit altruiste,force toi ma grande..
L'esprit intraitable avec soi ,sans douceur ou indulgence.
Sauf, que cela ne marche jamais et fait toujours revenir en arrière.
L'attachement a des concepts judéo-chrétiens, il faut que je sois ceci, ou cela, je devrais faire, etc.
 l'attachement a tout ce qui passe et ne reste pas.

à la jeunesse, à nos relations amoureuses, a nos proches qu'on voudrait immortel, a ceux qu'on voudrait toujours avoir au-delà de nos liens conservé.
L'espoir fou qu'après ma mort, on se retrouvera, parce que pense à moi comme je t'aime...etc. Aka Francis Lalanne.(foutaise samsarique!)
Mais ce n'est pas possible et cela engendre les pires souffrances, à chaque séparation ou décès.
Il y à les peurs d'abandon du à l'impossibilité de prendre refuge au dehors de soi. Parce-que personne ne peut vous aider, que le bonheur ne se trouve pas dans une relation affective, ni dans des biens matériels, mais en soi
Accepter l'impermanence de la vie, au cœur de nos vies. 
Cultiver les fleurs de tendresse avec soi, de patience
sans se juger, être tendre, si tendre. Comprendre que le changement viens avec le temps.
Ce juger ne servira à rien, si ce n'est qu'à aggravé notre état mental
Comprendre que chaque crise vécues est un pas en avant pour grandir.
Le fumier fait bien pousser les fleurs.
Respiré, Lâcher-prise.
Je termine en citant un Lama qui me fait beaucoup de bien, c'est le Lama Yeshé, décédé en 1984.
Soyez sage, traitez vous ,votre esprit, avec sympathie, avec une bienveillance pleine d’amour .
Si vous êtes doux avec vous même, vous deviendrez doux avec les autres
Et ne pensez pas que cette expérience intérieure de béatitude est de quelque manière égoïste .
Plus vous êtes satisfait intérieurement, plus vous pouvez donner plaisir et satisfaction aux autres
Je me le souhaite et vous le souhaite.